dimanche 20 juin 2010

Cultures urbaines

Pas de chevalet, pas de pinceau, pas de toile, ...
Le graffitis se vit et s'expose.

Ici ce sont de jeunes Vietnamien, artiste de rue,
qui exposaient au grand publique leur démarche.


Pas de revendication politique, juste pour le plaisirs de peindre.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire